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Alésia : "La pire chose que la Russie a fait de notre peuple, ce n’est pas de nous tuer. Ils ont fait bien pire"

Elle a quitté son pays, laissant derrière elle son mari, sa mère, sa soeur, et le souvenir ému de son grand-père mort de n’avoir pas su, car il était sourd, que la guerre avait commencé… Terrifiée, elle a tout quitté pour sauver sa peau et celle de sa fille, Eva, 7 ans. Réfugiée ukrainienne en France, Alésia raconte, au micro de Yahoo, la douleur, la séparation, l’angoisse, et aussi, l’espoir d’un avenir meilleur.