Publicité

“J'aurais sans doute fait comme eux” : Daniel Auteuil se livre à propos de ses parents sous l'Occupation

Depuis mercredi 12 janvier, Daniel Auteuil est à l'affiche de "Adieu Monsieur Haffmann". Dans le film récemment sorti en salle, l'acteur, dont la vie a été suspendue pendant un moment, incarne Daniel Haffmann, un bijoutier juif contraint de se cacher dans sa bijouterie en pleine période d'Occupation. L'acteur affirme que ce n'est pas le devoir de mémoire, mais les choix artistiques du réalisateur qui l'ont poussé à accepter le rôle principal. "Le film parle de cette période, sous une forme inédite. C'est ce qui m'a attiré. Fred Cavayé (...) mêle Histoire et suspense. J'avais aussi à coeur de jouer avec Sarah Girardeau et Gilles Lellouche, des acteurs talentueux", a-t-il confié à Télé 7 Jours.

Pour autant, le comédien affirme que ce devoir de mémoire lui est indispensable pour l'avenir en tant que citoyen. "Nous devons sans cesse rappeler que ce passé monstrueux a existé, et que même si les gens se dresseraient davantage aujourd'hui, on n'est pas à l'abri d'un retour d'une telle horreur", a-t-il déclaré dans le magazine.

Daniel Auteuil : "Fermer ma gueule quand il le fallait, mais jamais pactiser"

Lorsque l'on demande à Daniel Auteuil ce qu'il aurait fait sous la période de l'Occupation, l'acteur donne une réponse plutôt tranchée, accompagnée d'une réflexion qui semble l'animer depuis plusieurs années. "Plus jeune, je me disais : "Je ne sais pas". Aujourd'hui, je choisirais le bon côté, sans être forcément un héros. Je serais peut-être dans (...)

Lire la suite sur Closermag.fr

Jean-Michel Blanquer était en vacances à Ibiza lorsqu'il a dévoilé le protocole sanitaire dans Le Parisien
Michèle Laroque testée positive au Covid-19 : sa réaction pleine d'humour
Jean-Jacques Bourdin accusé de tentative d'agression sexuelle : il a la même avocate que PPDA
"A bientôt mon frérot…" : Julien Courbet très ému en direct en rendant hommage à l'un de ses amis
"Elles tombaient comme les mouches" : Isabelle Morini-Bosc se confie sur Jean-Jacques Bourdin