Paris : l'appartement d'un millionnaire russe cambriolé, les voleurs repartent avec un butin de 500 000 euros

Le vol a eu lieu en plein jour avenue Foch, dans le très chic XVIe arrondissement de Paris (REUTERS/Charles Platiau)

Alors que le propriétaire, un oligarque russe du nom de Nicolaï Sarkisov, était absent, un duplex de 600 m² situé avenue Foch, dans le XVIe arrondissement de Paris, a été dévalisé en pleine journée, vendredi 16 octobre.

Les enquêteurs n’ont pour le moment pas la moindre piste à se mettre sous la dent. Ce vendredi, un incroyable cambriolage a eu lieu en plein jour dans les beaux quartiers de Paris, visant l’appartement d’un richissime homme d’affaires russe.

Situé dans un immeuble de l’avenue Foch, dans le XVIe arrondissement de la capitale, le duplex de 600 m² appartenant à Nicolaï Sarkisov a été visité en milieu de journée par des cambrioleurs qualifiés de “professionnels” par une source proche de l’enquête, citée par Le Parisien.

Des cambrioleurs très discrets

Comme le précise le quotidien régional, la résidence en question était “pourtant barré(e) par des grilles, gardé et équipé(e) de caméras de vidéosurveillance”. Des mesures de protection qui n’ont aucunement arrêté les malfaiteurs, passés complètement inaperçus sur le coup. C’est une voisine qui a plus tard prévenu la sécurité en découvrant la porte fracturée.

Alors que le parquet de Paris a confié l’enquête au 1er District de Police Judiciaire (DPJ), l’appartement a été scrupuleusement inspecté par une équipe de police scientifique, qui a recueilli des indices “en cours d’exploitation”, selon la source policière du Parisien.

Un butin valant au moins 500 000 euros

Le butin emporté par les cambrioleurs est particulièrement fructueux : “des montres de luxe dont certaines personnalisées, deux Rolex, des bijoux, une statue en bronze, des fourrures, de la maroquinerie de luxe”, énumère Le Parisien.

Au total, le magot “se monte au moins à 500 000 €, mais il pourrait être revu à la hausse par le propriétaire qui n'était pas sur place”, comme le précise la source du quotidien francilien. Au moment des faits, Nikolaï Sarkisov était en effet “en villégiature à Saint-Tropez”, où il possède également une propriété.